domingo, 31 de mayo de 2009

Haciendo ladrillos ! En faisant des briques !



Aquí utilizan las métodos mas modernas y mas eficaces para la construcción. Así, es que los ladrillos miden unos 40 cm. X 20 cm X 12 cm. Medida casi exacta a partir de un único molde para su construcción. Obviamente que no se pueden hacer todo el año y se tiene que tener una fuente de agua cerca, lo que se transmite que culturalmente hay un periodo de unos 3 meses donde se hacen, se dejan secar al sol, obvio no necesitan horno, y anualmente se reparan o hacen sus viviendas. Esta técnica es sostenible ya que con sus propios medios pueden reparar su casa, añadiendo una capa barro cada vez.
Naturalmente hay casas de bloques con portland, pero en las pequeñas villas se pueden hacer solo con el dinero que los inmigrantes pueden mandar para sus familias, así es que se pueden ver 1 o quizás 2 casas en cada villa. Estas casas, si les pasa algo, es imposible de reparar con sus recursos.
Después de preparar la pasta con los pies, uno a uno es realizado y puesto a secar.
Cada ladrillo sale 10 Francos CFA que es igual a 0,015 € o 0,45 $ (pesos uruguayos). Estas personas pueden llegar a ganar, si fueran contratadas para hacerlo, hasta 1 € o 30 $ por día.



Ici ils utilisent les méthodes les plus modernes et les plus efficaces pour la construction. C’est ainsi que les briques mesures 40 cm X 20 cm X 12 cm. Mesure presque exacte puisqu’ils les font à partir d’un unique moule. Sans nul doute, ils ne peuvent pas les faire tout l’année et ils ont besoin d’une source d’eau proche, ce qui se transmet culturellement c’est qu’il y a une période de 3 mois plus ou moins pour les faire, ils les laissent sécher au soleil, assurément ils n’ont pas besoin du feu, et chaque année ils réparent ou font leurs maisons. Cette technique est durable, c'est-à-dire qu’avec leurs propres moyens, les gents peuvent réparer leurs maisons, en ajoutant une couche de boue à chaque fois.
Naturellement, il y a des maisons en briques avec du ciment, mais dans les petites villes, les maisons sont faites seulement avec l’argent que les migrantes peuvent envoyer par leurs familles, c’est comme ça qu’on peut voir 1 ou 2 maisons en ciment dans chaque ville. Ces maisons, si demain elles se cassent, elles sont impossibles à réparer avec les moyens locaux.
Après avoir préparé la pate avec les pieds, les briques sont réalisées une à une et mises à sécher.
Chaque brique coute 10 Francs CFA, ce qui équivaut à 0,015 € ou à 0,45 $ (pesos uruguayens). Ces personnes peuvent arriver à gagner, s’ils sont engagés pour le faire, jusqu’à 1 € ou 30 $ pour jour chacun.

Una bolsa de maní ? Un sac d'arachides ?


¿Quieres comprar maní en bolsas de 50 kilos?

Como casi no hace calor aquí, apenas si llega a pasar los 55 °C, las mujeres aprovechan para cultivar el Arachide (lengua Bambara), entre las 11 am y las 4 pm, todavía no entiendo como no se derriten! Esta responsabilidad se reparte para su recolección y envasado. Un trabajo fácil, ya que hasta el mas pequeño colabora!


Voulez-vous acheter des cacahouètes en sac de 50 kg ?

Comme il ne fait pas chaud ici, la température atteint à peine les 55°C, les femmes en profitent pour cultiver l’arachide (la cacahouète), entre 11 et 16 h, je ne comprends toujours pas comment elles font pour ne pas fondre sur place. Cette responsabilité leur incombe aussi pour la récolte et l’emballage. Un travail facile puisque même le plus petit participe.

miércoles, 6 de mayo de 2009

Un poco fresco, no? Un peu froid, non?

Hoy hará sin duda un día soleado, sin nubes, radiante para salir y no preocuparse del paraguas, jajaja.

Aujourd’hui il fera très beau, avec du soleil et nous pourrons sortir sans nous préoccuper du parapluie, hihihi.



Entonces, que nadie se queje de la lluvia, ni del agua !
Donc, que personne ne se plaigne de la pluie, ni de l’eau !

domingo, 3 de mayo de 2009

Peuls



Hoy nos toca recordar aquellas prácticas ancestrales, aquellas cosas que parecen no existir en nuestro mundo, aquellos quienes no comparten por desgracia o por suerte, los adelantos de nuestras generaciones.
Los Peuls, etnia nómada que en estos horizontes todavía viven bajo sus tolderías, todavía viven sin fronteras, desplazándose de un lado hacia otro, sin parar.
Podemos ver en sus caras las marcas tradicionales que los distinguen de los demás, hechas apropósito, al nacer, poniéndolos y/o marginándolos, con orgullo sin duda, a una vida que para nosotros es extraña, pero una vida rica en valores naturales, en sacrificio y porque no, en un sentimiento de libertad ancestral.



Aujourd’hui nous rappelons ces pratiquent ancestrales, ces choses qui semblent ne plus exister dans notre monde, ceux qui ne partagent pas, par bonheur ou par malheur, les avancés de nos générations.
Les Peuls, ethnie nomade, qui sous nos horizons habitent encore dans des cases de fortune, vivent encore sans frontière, ils se déplacent d’ici et là, sans s’arrêter.
Nous pouvons voir sur leurs visages les marques traditionnelles qui les différencient des autres, faites intentionnellement, dès leur naissance, ces marques les porteront ou les marginaliseront, avec fierté sans doute, vers une vie qui nous est étrangère, mais une vie riche en valeurs naturelles, en sacrifice y pourquoi pas, en sentiment de liberté ancestrale.